Fumer va vous ruiner, découvrez les tarifs 2024 et arrêter le tabac !

30/01/2024
Fumer va vous ruiner, découvrez les tarifs 2024 et arrêter le tabac !

Le tabagisme est une habitude qui non seulement pèse sur la santé, mais également sur le portefeuille. En cette année 2024, des ajustements tarifaires majeurs ont été déployés, ce qui a modifié considérablement le coût des produits du tabac. Découvrez comment ces modifications influent sur vos dépenses liées à la cigarette et pourquoi il urge de considérer des alternatives à la cigarette traditionnelle pour arrêter de fumer.

Combien va me coûter de fumer en 2024 ?

En 2024, les prix du tabac ont changé à partir du 1er janvier. Un décret publié le 11 décembre dans le Journal Officiel a officialisé ces ajustements qui influent sur ce que vous payez lorsque vous achetez des cigarettes. Ces modifications sont liées à l’augmentation des prix en général, décidée l’année précédente.

Parmi les ajustements notables, les principaux fabricants de tabac ont actualisé les prix de leurs marques les plus populaires. Par exemple, Philip Morris International a fixé le prix de Marlboro à 12,50 €, Philip Morris à 12 €, Chesterfield à 12 € et LM à 12 €. Seita, quant à elle, a modifié les tarifs de Gauloises Blondes à 11,50 €, Fortuna et News à 11,40 € et Davidoff à 12 €. De même, British American Tobacco a ajusté les prix de Lucky Strike à 11,50 €, Vogue et Dunhill à 12 €, et Winfield à 11,50 €. Enfin, Japan Tobacco International a fixé les prix de Camel et Winston à 11,50 €.

Ces variations tarifaires incitent à réfléchir sérieusement sur le coût réel de la consommation de tabac en 2024. Fumeur assidu ou non, ces ajustements vont représenter une augmentation notable de vos dépenses. Par exemple, si, par jour, vous fumez 1 paquet de cigarettes Marlboro de Philip Morris International à 12,50 €, vous pourriez faire face à un coût mensuel d’environ 375 €. Et si vous êtes un fumeur de Lucky Strike de British American Tobacco (11,50 € par paquet), envisagez un coût mensuel d’environ 345 €.

Pourquoi la cigarette électronique reste le 1ᵉʳ élément d’aide au sevrage ?

La cigarette électronique occupe une place importante en tant qu’outil premier d’aide au sevrage tabagique. Il offre aux fumeurs une alternative prometteuse pour abandonner le tabac traditionnel en douceur.

Réduction de la dépendance tabagique

L’atout majeur de la cigarette électronique réside dans sa capacité à simuler de manière authentique l’expérience de fumer. Le geste familier de porter l’e-cigarette à la bouche, l’inhalation de la vapeur et même l’émission de la légère vapeur, tout cela recrée l’ensemble des sensations associées à la cigarette traditionnelle. Cette reproduction fidèle de la gestuelle du fumeur contribue à faciliter la transition psychologique qui est un élément clé du processus de sevrage.

En dehors de ce mimétisme, la cigarette électronique offre un contrôle sur la concentration de nicotine. La disponibilité de différents dosages de nicotine dans les e-liquides offre la flexibilité nécessaire pour ajuster progressivement la dépendance à cette substance. Cette capacité de régulation favorise un sevrage plus progressif et moins abrupt, ce qui augmente les chances de réussite du sevrage tabagique.

Le vapotage est moins nocif que le tabagisme

Lorsque la cigarette est entièrement remplacée par la cigarette électronique, l’exposition à un grand nombre de substances toxiques et cancérigènes diminue considérablement. La fumée de tabac, contenant plus de 4 000 substances dont 80 sont cancérigènes, est ainsi évitée.

Surmonter le sevrage vapologique aisément

Après avoir accompli le sevrage tabagique avec succès grâce à la cigarette électronique, les individus entament une nouvelle phase : le sevrage vapologique. Cette étape cruciale représente la libération des dépendances liées à la vape, et donc, à tout ce qui est lié à la cigarette, qu’elle soit traditionnelle ou électronique.

Avec la e-cig, avant d’arrêter complètement, les utilisateurs peuvent choisir délibérément un e-liquide au goût désagréable pour briser le lien entre la vape et le plaisir, ce qui n’est pas le cas avec la cigarette traditionnelle. En parallèle, ils peuvent explorer des alternatives relaxantes, telles que des exercices de respiration ou des activités plaisantes pour aider à compenser le besoin de détente associé à la vapoteuse.

Témoignages d’anciens fumeurs devenus vapoteurs

Des centaines de milliers de fumeurs ont réussi à tourner la page du tabac en adoptant le vapotage. Voici, à cet effet, quelques témoignages récupérés sur https://www.tabacstop.be/.

Le vapoteur passionné (63 ans)

À 63 ans, ce vapoteur passionné partage son témoignage d’une décennie sans tabac. Ancien fumeur de plus de 50 cigarettes par jour, il a trouvé la clé de la liberté grâce au vapotage. En seulement cinq semaines, il a réussi à abandonner cette habitude nocive. Privilégiant l’arôme tabac cigare, il utilise des liquides à 100 % de glycérine végétale et vapote sans nicotine. Sa technique, souvent appelée « crapotage », consiste à créer des nuages impressionnants avec des atomiseurs reconstructibles. Sa relation passée avec la cigarette n’est désormais qu’un souvenir lointain et sa confiance dans la victoire sur le tabac reste inébranlable.

Le converti de 70 ans

Denis, à 70 ans, avait pour habitude de consumer un paquet de cigarettes chaque jour, ce qui entraînait des symptômes désagréables tels que toux matinale et difficultés respiratoires. Le vapotage est venu révolutionner sa vie. Optant pour l’e-cigarette au lieu de fumer, Denis a rapidement noté la disparition complète des effets négatifs du tabac. Les toussotements matinaux ont cessé, les problèmes respiratoires se sont estompés. La vapoteuse a ainsi non seulement amélioré sa santé, mais a aussi offert une alternative sans les inconvénients du tabagisme.

La vapoteuse consciente à 68 ans

Suzanne, 68 ans, a entrepris son voyage vers la liberté tabagique sous les conseils avisés de son endocrinologue. Ayant expérimenté des traitements précédents avec des effets secondaires déroutants, elle a décidé de faire confiance à la vapoteuse. Sa première tentative avec Champix l’a laissée avec des souvenirs embrouillés et des problèmes cognitifs persistants depuis 20 ans. Suzanne a, par la suite, opté pour une approche progressive avec la vapoteuse. Réduisant graduellement le nombre de cigarettes, elle vapotait quand l’envie de fumer devenait irrésistible. Cette méthode douce lui a permis de se libérer progressivement du tabac, sans douleur.